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Introduction Dominique Strauss-Kahn est libre, qui n'est pas au courant !? Ses soutiens de la première heure crient victoire et se réjouissent que justice aie été faite pour celui qui a toujours clamé son innocence depuis le 14 mai dernier. À côté, les féministes convaincu(e)s et défenseures des femmes victimes d'agression sexuelle hurlent au scandale, à la honte, l'injustice et dénoncent une justice à deux vitesses pour peu que l'on soit politicien ou du moins, « personne avec influence ». Il y a ceux, du « 3ème type », qui ne savent pas trop quoi en penser : sans doute un peu gênés par ce dénouement qui ne donne pas d'explication réelle ni ne condamne ; gênés aussi toutefois par la dérive médiatique dont a fait l'objet cette affaire depuis son commencement. Les médias justement. Tout puissants dans la patrie de l'Oncle Sam ; plus mesurés (complices?) au pays de Victor Hugo. Les premiers se défendent de ne faire aucun traitement de faveur quelque soit l'accusé, les seconds d'accorder le respect de présomption d'innocence... toujours est-il que l'on n'a rarement vu déferlante et acharnement médiatiques aussi féroces que pour l'affaire DSK.